Choisir la meilleure solution de paiement pour votre marketplace : règles essentielles et conseils

Choisir la meilleure solution de paiement pour votre marketplace : règles essentielles et conseils

Si vous voulez faire un grand plongeon dans le monde de la Marketplace, faut forcément passer par la case PSP ! Le Prestataire de Services de Paiement, c’est notre grand boulevard pour faire du Business. Bon, c’est vrai, ces derniers temps on voit pousser comme des champignons pas mal de nouveaux-visages dans le domaine. Des nouveaux p’tits génies qui proposent des choses alléchantes, de quoi vous faire tourner la tête ! Mais attention hein, faut pas se méprendre, certains de ces jeunes loups travaillent main dans la main avec des vieilles dames, j’parle ici des banques traditionnelles. Pour ceux qui ont un peu peur de sauter dans le bain, c’est rassurant ! Alors, prêt à y voir plus clair dans le brouillard ? On y va, c’est parti !

Il y a quelques signaux à capter et des éléments importants à garder en tête durant cette quête du meilleur PSP. Parfois, entre deux gorgées de café, on se demande quels sont ces éléments à peser pour prendre la bonne décision. Allez, suivez-moi, on va décortiquer tout ça ensemble !

Plongeons au coeur du sujet : Les options de paiement proposées

Avant de foncer tête baissée, il est crucial de faire un choix réfléchi parmi les différentes solutions de paiement pour marketplace qui pullulent sur le marché. Certes, la clé c’est de choisir l’option qui fait vibrer les coeurs de vos clients. Avec le temps, la carte bancaire s’est forgé une place de choix et s’est installée confortablement au sommet. Elle n’héberge pas moins de 80% des paiements comme le souligne la FEVAD.

Et puis, il y a ces challengers sur le ring du paiement qui ne reculent devant rien et se mettent en quatre pour proposer des moyens de paiement plus frais. On parle ici du virement bancaire, du paiement instantané et même de l’étalement du paiement en plusieurs fois. Parier sur la diversité des options de paiement, c’est jouer avec le feu, certes, mais c’est aussi jouer pour gagner en augmentant les chances que vos clients fassent fissa pour remplir leur panier. Et sur ce champ de bataille de la vente en ligne, si votre clientèle a des goûts bien définis, ce pari risqué peut s’avérer fructueux. Rien de pire pour un e-commerçant que le spectre de l’abandon de panier qui hante encore et toujours ce secteur. 

Plongez dans l’univers de la sécurité et de la conformité : deux indispensables pour votre activité.

C’est un fait, mes chers ! Un client qui titube sur une corde raide de la confiance, c’est un client perdu. Eh ouais, chers amis compagnons d’affaires, la cuirasse d’insécurité qui enveloppe vos clients représente aujourd’hui 17% des raisons pour lesquelles vos ventes ne se transforment pas en profits sonnants et trébuchants. À cette délicate courbe, la sécurité surgit comme une évidence, une nécessité indomptable, surtout si votre site marchande encore à petits pas sa notoriété. Pour vous couvrir, un conseil : opérez prudemment, et pourquoi pas, en alliant vos forces avec celles des institutions bancaires traditionnelles, ces figures de proues qui ont toujours su nager dans le flux de la confiance.

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Mais attention, ce n’est pas tout! En porte-à-faux de la sécurité, la conformité fait son apparition. C’est impératif que votre activité de marketplace se montre à la hauteur de la réglementation concernant la gestion des flux financiers et services de paiement. Si votre entreprise bat encore le pavé pour acquérir son statut d’établissement de paiement auprès de l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, notre arbiter national de la banque et l’assurance), n’hésitez pas. Mettez-vous sous le parapluie d’un prestataire de services de paiement lui-même adoubé par l’ACPR. Une astuce de vieux loup de mer pour assurer votre conformité avec la réglementation financière, et naviguer sans encombre sur les eaux parfois tumultueuses de la vie digitale! 

L’énigme du contrat de VAD

Voilà un truc drôlement important à garder en tête quand on passe au choix de sa solution de paiement en ligne : le fameux contrat VAD, autrement connu comme le VADS. A voir ce nom barbare, vous vous dites peut-être « Hé quoi ? C’est quoi ce brol ? ». Hé bien, laissez-moi vous dire, c’est du costaud. Il s’agit ni plus ni moins qu’un contrat de Vente à Distance Sécurisée que la banque et le commerçant signent ensemble, main dans la main. Ce contrat, il est vraiment pas mal. Il vous permet de poser un terminal de Paiement Électronique en ligne, d’encaisser des flux de paiement par cartes bancaires de vos clients bien-aimés, et tout ça de façon aussi sécurisée que Fort Knox. Et le petit plus ? Avec ce contrat, la banque met sa main à couper que les paiements seront bel et bien effectués. En plus de tout cela, ce contrat malin permet aussi de décider combien on vous ponctionne pour chaque transaction. 

Mais attention, la vie n’est pas un long fleuve tranquille et ce contrat VAD peut avoir dans sa manche des frais d’installation à vous faire tomber de votre chaise. On parle ici d’un petit tour de passe-passe qui peut vous coûter quelques centaines d’euros, acquiesce-toi bien à ça ! Et le montant ? Oh, laissez-moi vous dire, il n’est pas figé, ça balance au gré des banques. De plus, la banque, cette grande dame, elle va jeter un œil à votre entreprise et à vos produits comme une mère veille sur ses petits. Elle pourrait, dans certains cas, étudier le risque et vous dire un « non » retentissant pour la signature d’un contrat VADS. Alors méfiez-vous, on n’est jamais trop prudents ! 

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Prenons le temps de décortiquer le modèle de commissionnement

Imaginez si vous voulez, un grand melting-pot de commissions et de frais. Certains prestataires de services de paiement (PSP) y plongent avec une petite cuillère et récupèrent juste un pourcentage de chaque transaction. Parfois, ils ajoutent à cela une petite pincée de frais fixes, pour pimenter les choses. D’autres vont un peu plus loin et rajoutent dans la marmite épicée des frais d’abonnement.

Bon, il est clair que vous ne voulez pas vous retrouver à payer plus que nécessaire. Alors, la clé ici est de bien connaître les performances de votre commerce en ligne. Est-ce que votre chiffre d’affaires danse la samba ou plutôt le slow? Ça va influencer le meilleur partenaire à choisir.

Maintenant, laissez-moi vous dévoiler un petit secret. Au delà d’un certain seuil de transactions, il peut s’avérer judicieux de danser avec un PSP qui a des frais d’abonnement, à condition d’avoir un taux de commission qui bat sa propre mesure. Par contre, si votre volume de transactions en ligne est un peu timide, en mode pas de deux, alors il se pourrait qu’une solution sans frais fixes, même avec un taux de commission plus élevé, soit votre meilleur cavalier.

Les PSP, ces grands danseurs de tango du monde du paiement en ligne, pratiquent en moyenne des commissions qui vont de 1,5 à 3%. Cependant, certains ont une certaine audace et peuvent décocher jusqu’à 10%. Sans oublier, bien sûr, certains qui n’hésitent pas à réclamer des frais d’installation.

Ah, le bel univers complexe et fascinant des PSP! Ils donnent vraiment du piquant à la danse des transactions en ligne, n’est-ce pas?

A la conquête du monde ! Géréz l’internationalisation et la collecte de fonds comme un pro.

Quoi de plus excitant que de voir votre entreprise s’étendre sur la scène internationale ? Ah ouais, effectivement, ça implique également de s’attaquer à quelques défis et pas des moindres… Vous allez, sans le moindre doute, rencontrer de nouveaux paramètres. Comme un invité surprise à un repas de famille, ces défis complexes ont pour habitude de mettre le bazar dans 60% des transactions internationales. Vous ne voulez pas être dans ce sac, n’est-ce pas ?

Et que dire des spécificités culturelles de chaque pays ? C’est un peu comme apprendre à danser au rythme d’une nouvelle musique. Chaque pays a ses propres pas de danse et votre fournisseur ne peut pas ignorer les devises et les moyens de paiement locaux, aussi variés soient-ils. Ce serait comme essayer de danser le tango sur du hip-hop.

Maintenant, parlons du nerf de la guerre : les fonds. Ou plus précisément, comment les récupérer. On dirait parfois un jeu de piste où vous devez dénicher la combinaison secrète pour accéder à votre trésor. Parfois, vous ne pouvez transférer vos fonds qu’à partir d’un certain montant. Compliqué ? Vous parlez d’un euphémisme…

Mais, hé, pas de panique ! Une bonne dose de persévérance et des tableaux de bord robustes peuvent aider grandement à gérer les transactions ou à tenir un oeil sur l’historique des transactions. Alors, préparez-vous à l’aventure. Vous êtes sur le départ pour un parcours plein de rebondissements passionnants dans le monde des affaires internationales.