Plongez-vous dans le monde rougeoyant et séduisant des algorithmes, ces merveilles intelligemment ordonnées de chiffres et de lettres qui vous permettent de servir votre café préféré à la perfection. Oui, les entreprises ont juré leurs grands dieux de leur efficacité sans pareil et de leur apport inqualifiable pour le gain de temps. Ah, c’est comme si vous pouviez faire apparaître une armée d’assistants virtuels prêts à accomplir, sinon tout, presque toutes les tâches en une fraction de temps.
Mais hélas tout n’est pas rose dans le paysage des algorithmes. Comme dans le roman classique de Dr.Jekyll et Mr.Hyde, ils cachent une face sombre derrière leur visage utile. L’histoire récente de Facebook en est un exemple crispant, montrant à quel point ils peuvent se balancer dangereusement comme une épée à double tranchant.
Le péril n’est pas seulement pour les entreprises, non mon cher, c’est une menace planante pour notre société même. Oui, la trempe de leurs effets pourrait faire tomber bien plus qu’une entreprise; le tissu social tout entier pourrait être en jeu. L’histoire a souvent montré que ce qui brille n’est pas toujours d’or, et avec les algorithmes, le dicton semble fort applicable.
Alors tout ça pour dire quoi ? Eh bien, juste qu’il vaut mieux faire attention avec certains outils. L’histoire de la technologie nous a appris qu’un super pouvoir de ce genre doit être utilisé avec sagesse. Sinon, qui sait, au lieu de nous aider, ils pourraient bien nous jeter dans l’arène du chaos.
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ToggleFacebook et le faux pas du singe : Une chronique à ne pas oublier
C’est une histoire plutôt embarrassante pratiquement sortie d’un film de science-fiction. Facebook, le géant des médias sociaux, s’est pris les pieds dans une grosse bourde d’IA. Imaginez, avec moi, le visage surpris des internautes, en train de mater tranquillement une vidéo, lorsque l’algorithme de recommandation de vidéos de Facebook s’est carrément mélangé les pixels.
Le hic? Cet algorithme réputé intelligent a misérablement confondu une bande d’humains, en particulier un groupe de personnes noir, avec … non, pas de blague, des singes. Du coup, il a invité les spectateurs, tout innocemment, à cliquer pour voir «d’autres vidéos sur les primates», alors qu’ils regardaient une vidéo du Daily Mail – qui a plus d’un an – sous le titre « Un homme blanc appelle les flics contre des hommes noirs à la marina ». Pas une queue de singe à l’horizon, juste une conversation houleuse d’humains.
Alors, vous voyez sans mal, comment cette maladresse de l’IA a créé une polémique de taille. De là, s’en est suivi une série d’actions qui ressemble presque à une scène de chaos.
Réactif comme un guépard, Facebook, tout rougeoyant d’embarras, a été prompt à bombarder d’excuses ses utilisateurs. A en croire le porte-parole du géant, ce faux pas était « une erreur inacceptable » qui a été causée par leur système d’IA. En fait, leur commentaire officiel a sonné comme ça : « Nous présentons nos excuses à quiconque a vu ces recommandations insultantes.». Et ce n’était pas juste des mots : Facebook a coupé la branche sur laquelle l’algorithme avait trébuché pour stopper cette remous. Autrement dit, ils ont tout simplement désactivé l’outil de recommandation et se sont mis au travail pour disséquer ce qui a foiré et pour s’assurer de ne pas refaire le même bad buzz.
Un florilège d’incohérences
A la croisée de l’anticipation futuriste et du monde technologique tangible, nous jettons un œil intéressé à l’intelligence artificielle. Encore à l’état embryonnaire, voire balbutiant, la maîtrise totale de cette merveille high-tech est toujours un mirage au fin fond de l’horizon. Elle a déjà fait l’objet de controverses vives, surtout dans sa capacité à réguler les contenus en ligne. Son rôle principal se résume à débusquer et à lacérer des contenus indésirables. Cependant, on constate que la panoplie des complexités non résolues est bien loin de se tarir.
La modération n’est qu’un brin de l’écheveau. Un robot électronique à l’intelligence artificielle a été envoyé en éclaireur par la cité-Etat de Singapour. Sa mission? Promouvoir et maintenir l’intégrité de la distanciation sociale. Pourtant, malgré sa robotique avancée, le gentil robot a été pris en défaut, ce qui met encore plus en lumière les limites à surmonter.
Son spectre d’application est beaucoup plus large. L’IA fait des emplettes dans le monde des ressources humaines et s’attelle à la présélection des CV. Se basant sur le score des anciens candidats à succès, elle sélectionne de nouveaux CV. Elle fanfaronne avec une sélection objective, mais l’on peut bouder. Qu’en est-il de l’exclusion potentielle de certains profils basée sur des prérequis historiques? C’est un débat infectieux et fécond qui peut ainsi être déclenché.
L’épineux débat autour des limites de l’intelligence artificielle
Vous voyez, l’intelligence artificielle, ou IA, est une drôle de bête. Elle s’est infiltrée, à pas de velours, dans tous les recoins de notre vie quotidienne. Et je parle de tous les recoins. Les voitures autonomes qui nous emmènent au travail? Impulsion IA . Ces gadgets connectés que nous avons tous autour du cou ou dans la poche? Encore l’IA. Et n’oublions pas nos amis assistant comme Siri, toujours prêts à nous aider en un clic. Même le secteur médical commence à lui tendre les bras.
Mais voilà, certains, loin d’être ravis par cette infiltration, s’inquiètent plutôt. Ils craignent qu’un jour, l’IA se mêle de notre sens moral, devienne ce qu’on appelle une IA forte. Mais ne vous inquiétez pas, on en est encore loin! Parce que, sincèrement, avant de programmer l’IA pour comprendre nos concepts moraux, faudrait déjà qu’on soit capable de mettre en mots nos sentiments en tant qu’êtres humains. Pas une mince affaire, de définir l’amour ou la compassion, n’est-ce pas?
Alors, voyez-vous, qu’est-ce qu’une machine peut faire, au fond? Rien de plus que d’identifier et de réagir à une tâche qu’on lui a préalablement attribuée. Elles ne vivent pas d’expérience subjective, ces machines, elles ne dépassent pas les limites qu’on leur a fixées. Si une situation inconnue se présente, elles sont comme un poisson hors de l’eau, incapables de réagir, sans pouvoir prendre en compte la gravité de la situation ou d’autres facteurs plus subjectifs. Elles ne prennent pas d’initiative de leur propre chef, ou alors, en se basant sur des éléments bien différents des nôtres. Par exemple, imaginez un accident de voiture. L’algorithme, lui, va juste compter combien de vies il peut sauver. Mais des éléments plus humains, comme l’âge par exemple, vont passer à la trappe. Ça ne vous rappelle pas le film I-Robot, cette histoire? Cette machine qui choisit de sauver un homme plutôt qu’un enfant, juste parce que son taux de survie était plus élevé?
Plongeons dans les profondeurs: Une réalité alarmante pour la démocratie
Dans un coin peu exploré du monde, on découvre une entité nouvelle, une boîte de Pandore, dont nous autres, les Français – selon une étude IFOP – n’avons qu’une vague idée de ce qui se trame derrière. C’est là que nous rencontrons l’Intelligence Artificielle (IA) – cette trouvaille encore fraîche comme une rose du matin, mais n’oublions pas que le doux parfum de la rose cache des épines redoutables. Les enjeux sont titanesques, voire épiques.D’abord, imaginez une situation où cette IA est aux commandes pour surveiller les personnes – un peu comme Big Brother. On court vite le risque de voir débouler des bruits de couloir insolites, des fuites d’informations ou pire encore, des utilisations frauduleuses de ces surveillances. Si l’idée vous a déjà fait frissonner, attendez de voir ce que l’acte deux réserve.Parlons de l’aspect technique. Les diagnostics faits par l’IA sont des bambins qui apprennent à marcher – on en est encore loin de voir une course olympique. En termes simples, les données sur lesquelles l’IA se base aujourd’hui sont une gorgée d’eau dans l’océan – loin d’être suffisantes.Apportons une autre nuance. Parfois, ces machines de calcul ultra-rapides ne parviennent pas à comprendre la complexité et l’unicité de certaines situations. Un virus comme le coronavirus, par exemple, a dérouté de nombreux modèles de prévision. C’est cela qui suscite de vives critiques envers l’IA. Alors voilà, le tableau poignant que dessine l’IA : une capricieuse enfant prodige, capable du meilleur comme du pire.