Jouer à l’entrepreneur. Un rêve pour beaucoup, une réalité pour certains. Un chemin semé d’embûches où l’un des plus gros monstres à dompter est celui de la levée de fonds. Oui, cette partie du voyage effrayante où un bout de l’entreprise qu’on a bâtie s’échappe un peu de nos mains. C’est la crainte majeure, donner une part de son baby, sa création, son rêve. Ce guide, mes chers comparses, est là pour vous aider à franchir ce pas effrayant mais nécessaire.
Quand on rêve de lancer sa boîte, on rêve de liberté, de ne plus avoir un patron sur le dos, de devenir son propre maître, en quelque sorte. Puis on réalise que ce rêve a des chaînes, celles du marché et des responsabilités à assumer. Et ce qui permet de faire la différence entre le rêve et la réalité, c’est l’argent. Sans cet allié de poids, notre projet est juste un brouillon non fini. Alors posez-vous la question : qu’est-ce qui est le mieux, posséder tout une idée ou une majorité d’une entreprise ?
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ToggleA l’origine, le refus des banques
Le dilemme de l’ouverture du capital provient souvent des banques. Elles sont frileuses à l’idée de financer les PME, vu la conjoncture économique et les réglementations en constante évolution. Et ce, même avec les dispositifs proposés par OSEO. Par conséquent, un entrepreneur a besoin d’être très sûr de son projet pour se jeter à l’eau, tanquées par l’idée que sa responsabilité financière est en jeu.
De nos jours, une solution pour obtenir l’argent nécessaire c’est de faire appel à des investisseurs (Business Angels, Fonds d’investissement). Après tout, ces personnes, habituées à prendre des risques, peuvent se permettre de perdre leur mise. Et ça, mes chers, ça change la donne !
Que la force du succès soit avec l’investisseur et le dirigeant
Quand un investisseur s’immisce dans le capital, son but devient le même que celui du patron : le succès ! Leur équipe met le turbo pour aider à faire avancer l’entreprise, en partageant leur expérience et en offrant leur réseau. Évidemment, ils ont des exigences et il faut bien se préparer avant de les rencontrer. Parce que oui, ce n’est pas un rendez-vous amoureux, c’est du sérieux business. Un conseil au passage, faites-vous accompagner pour augmenter vos chances de réussir votre levée de fonds. Notez que généralement, les investisseurs financent seulement un dossier sur cent reçus.
Levons des fonds, c’est parti !
Allez, on se lance, on ouvre son capital à un investisseur, et voilà ce que ça apporte :
- Les moyens financiers pour booster vos ambitions;
- Un moyen de contourner la timidité des banques;
- Du soutien pour ne plus se sentir seul en tant que dirigeant;
- Un partage du risque;
- Une optimisation de votre stratégie;
- Un réseau élargi;
- Un gain de temps pour atteindre vos objectifs;
- Un soutien de longue durée
A vos marques, prêts, levez des fonds
Guide rédigé par FRÉDÉRIC COUSIN | PRÉSIDENT | WWW.MEILLEURINVESTISSEUR.COM