Comme une lame de fond dans une mer calmée, la Covid-19 a tristement ravivé dans notre esprit cette idée à peine supportable que dame Mort peut nous cueillir sans crier gare. Que d’un battement de cil, le dirigeant d’une société peut être frappé d’incapacité suite à un accident ou une maladie sans égards pour son rang. Pourtant, face à cette cruelle réalité, la vie de l’entreprise ne s’interrompt pas. Telle une machine bien huilée, elle continue son travail de fourmi, sans égards pour l’absence de son maître. Pourtant, afin de garantir cette continuité, et le bon roulement des activités, il est d’une importance capitale d’anticiper ces éventualités.
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ToggleSur la crête d’une vague tumultueuse
La vie d’une entreprise n’est pas toujours un long fleuve tranquille – bien au contraire! Si elle peut nous gratifier de certains instants de réussites, glorieux et joyeux, elle nous impose aussi de traverser de tumultueux orages, qui heureusement ne durent qu’un temps. Ces passages agités peuvent être ponctués par une baisse d’activité, de mésaventures financières, des tensions relationnelles avec les salariés, investisseurs et fournisseurs, ou encore d’une ambiance chancelante due à une gestion fragile. À côté de ces tempêtes internes, la vie a tendance à jouer ses propres tours. Le coup le plus dévastateur serait sans conteste la disparition soudaine du capitaine de ce navire nommé entreprise. L’hypothèse du décès du chef d’entreprise, qu’on aimerait reléguer à l’abîme de l’improbable, peut engendrer un vrai chaos au sein de la structure. Du côté des conséquences redoutées, on peut craindre une délicate liquidation judiciaire et même, dans les cas les plus critiques, une cessation totale d’activité. C’est pour prévenir ces écueils que l’anticipation devient aussi importante qu’urgente. Alors, ouvrez grand vos mirettes, on vous donne les clés pour planifier et éviter le pire!
Planifier sa relève : une démarche indispensable pour tout entrepreneur
Plongeons-nous quelques instants dans les chiffres d’une étude menée par FIDAL, l’une des figures de proue de l’univers juridique en France, en 2015. Vous comprendrez que quand il s’agit de passer le flambeau de sa propre entreprise, il faut s’y prendre bien à l’avance. En effet, un impressionnant 83,5% des capitaines d’industrie français s’expriment haut et fort : le crépuscule des soixante printemps ne devrait pas vous frapper avant que vous n’ayez déjà fini de cartographier l’avenir de votre entreprise. Voire même, pour une petite majorité de 52.3%, planter les jalons de la transmission devrait se faire entre les âges de 55 et 59 ans.
Et qui serait le sauveur idéal, le porteur du titre promis, dans les yeux de ces dirigeants français ? Pour une proportion non-négligeable de 29%, le choix du coeur ira à la famille, choisir un membre de la famille pour continuer le rêve et porter la tradition. Tandis que pour 21%, la solution se trouve dans un confrère du métier, quelqu’un qui connaît les rouages de l’industrie, et pour 9%, le digne successeur se dresserait parmi les salariés de leur propre entreprise.
Cela dit, il faut souligner qu’une forte proportion, 41% pour être exact, avoue humblement n’avoir pris aucune mesure pour assurer la continuité de leur entreprise en cas de bouleversements inattendus, tels qu’un accident, un divorce ou – nous n’osons y penser – un décès.
Alors, mesdames et messieurs les entrepreneurs, c’est le moment de se retrousser les manches et de donner à la question de la succession toute l’attention qu’elle mérite !
Braver l’inconfort des lendemains incertains
Inspirée de plusieurs sources, cette stat frissonnante révèle que 15% des business hérités après le trépas du big boss n’arrivent pas à passer outre l’écho de sa disparition et finissent par mordre la poussière.
Le décès soudain du pilote aux commandes peut précipiter l’entreprise dans un tourbillon d’incertitudes lourdes, déclenchant une vague de crise qui l’engloutit. Pour éviter que la trajectoire de sa fierté ne prenne une tournure aussi sombre, l’entrepreneur doit braver l’inconfort de cette éventualité. Il doit envisager toutes les possibilités, à commencer par l’imprévisible coup du sort qui pourrait le balayer de la scène. Tarir la source, afin de bâtir un filet de sécurité pour sa famille, ses troupes et tous les acolytes qui gravitent autour de lui.
Les jeux de la vie et leurs conséquences
Imaginez un navire sans capitaine, en proie aux tempêtes du large. C’est presque comme ça qu’une entreprise peut se retrouver lorsqu’elle perd son chef de file, son skipper : l’entrepreneur. C’est pas du tout une balade dans le parc, non. Au contraire, il y a plein de nuages orageux qui menacent et j’me dis qu’on doit vraiment rester vigilants pour pas se faire emporter. En fait, perdre l’homme de barre, c’est comme ouvrir une boite de Pandore en plein milieu de l’océan – tourbillon de troubles à l’ordre du jour.
Donc, première catastrophe à éviter : le désordre. On se retrouve là, avec une barque sans gouvernail, et les membres d’équipage ne savent plus trop comment se coordonner. Ils ont besoin d’un signal fort pour prendre les bonnes décisions et si ce signal fait défaut, eh bien, ils sont comme des moutons sans berger. Il peut falloir un certain temps avant que les choses soient remises sur les rails et ce retard peut être très coûteux – pensez au manque à gagner!
J’suis sûr que vous voyez où je veux en venir? On se retrouve avec une sacrée diminution du chiffre d’affaires et des coûts supplémentaires qui s’envolent – et ces ailes-là pourraient bien emporter l’ensemble de la compagnie avec elles. C’est comme si l’on creusait un trou plus grand dans un mur déjà ébréché, avec le risque de faire s’écrouler toute la structure. Eh, ouais, c’est pas des histoires de cap au large à prendre à la légère.
La clé du destin ? C’est l’Anticipation !
On le sait tous, en affaires, la vitesse c’est bien, mais la précipitation ça peut faire mal. Imaginez filer à toute allure pour remplacer le dirigeant de votre entreprise et paf, trop rapide, on se trompe de décision ! Rien de tel pour mettre la vie de l’entreprise en péril. Parlons-en de cette mise en danger, quittons l’heure pitchoun pour un passage sombre, l’ombre d’un décès du big boss. La perte de ce pilier central peut se révéler comme un véritable coup du sort pour l’entreprise, un désordre sans nom.
Vous voyez le tableau ? Les crédits-bail, les prêts, ce qui était hier une aidante main tendue devient aujourd’hui des monstres aux dents longues, prêts à réclamer un remboursement anticipé. Belliqueux, ces comptes bancaires se ferment, au même rythme que les portes de l’avenir. Ils virent au rouge dès que le banquier attrape l’info de la disparition de l’entrepreneur.
Le volet des désastres se prolonge, le stylo qui signait des contrats se dessèche, le virement aux salariés se perd, les fournisseurs tendent leurs mains, mais elles restent vides. Et que dire des chantiers en cours, perdus dans la suspension du temps, car plus moyen de chopper de la main-d’œuvre ou de se fournir en matos. Résultat ? Un Tsunami de dettes qui menace de raser l’existence social de la boite.
Il y a bien sûr l’option des associés s’ils sont plusieurs, qui, en serrant les rangs, peuvent tenter de naviguer dans ces eaux troubles. Mais pourquoi se retrouver à naviguer dans une tempête, alors qu’en prévoyant en amont on n’aurait eu qu’à affronter quelques vagues ? Vous avez compris, anticiper et prendre des mesures adéquates serait la sagesse du patron visionnaire. C’est comment ? Une pilule à avaler, ou une tempête à affronter, le choix est notre, et il ne suffit que de prévenir plutôt que guérir.
Entrer dans l’arène avec des assurances spécialisées
Allons, allons, on le sait tous… dans l’univers brut de l’entreprise, il y a plus qu’une poignée d’assurances conçues pour jeter un bouclier de protection autour de la structure même de l’entreprise. Mais accrochez-vous à vos chapeaux parce qu’il y a également des légions d’assurances toute spéciales qui ont pour but de protéger la tête qui commande – le dirigeant! Un exemple parfait? Siègez bien, car voici le magnifique exemplaire de l’assurance « homme clé».
Imaginez le scénario catastrophe où notre homme clé ne peut plus donner le meilleur de lui-même, que ce soit suite à un décès, une Perte Totale et Irréversible d’Autonomie (PTIA) comme on l’appelle dans le jargon, une invalidité permanente, un accident malencontreux de parcours ou une incapacité temporaire à continuer son travail. Son absence crée un trou noir que l’entreprise doit combler au plus vite. C’est là que se présente notre assurance « homme clé » telle une baguette magique juridique et financière.
Elle assure une couverture financière à l’entreprise, ce qui lui permet non seulement d’assurer la continuité de l’activité, mais aussi de dénicher un remplacant digne de reprendre le flambeau. Tout cela en préservant l’image de marque de la société, une mission essentielle pour garder la confiance des partenaires, clients et investisseurs, qui sont les composants essentiels pour faire tourner la roue de l’entreprise. Voilà le super-héros des assurances qu’est l’assurance « homme clé ».
Quand grim reaper frappe à la porte, deux types d’indemnisations entrent en danse
C’est comme s’il y avait deux cordes à notre arc quand ça devient sombre – l’une qui se base sur la perte financière causée par le vieux sablier, et l’autre qui est un forfait défini selon les besoins de la structure, propre à chaque pacte que l’on scelle. Et cerise sur le gâteau, il y a aussi des retours fiscaux plutôt sympa à la clé, directement dans la poche de votre entreprise. Peut-être avez-vous déjà entendu parler de l’article 39 du Code Général des Impôts? Si oui, avec un haut du chapeau nourri de respect pour vous. Si non, alors pour faire court, il permet à une boite de retirer toutes les cotisations versées pour une assurance Homme-clé de ses bénéfices imposables. Ce qui n’est pas des cacahuètes, vous admettrez. Et non, ne pensez pas qu’il s’agit là d’une affaire pour les VIP uniquement. Tout un chacun peut y prétendre. Que vous soyez la grande fromage ou juste celui qui fait tourner la boutique, aussi longtemps que vous contribuez à l’augmentation du chiffre, alors cette assurance est pour vous.
Plonger la plume pour dessiner l’avenir : Signer des Mandats
Au royaume de l’entrepreneuriat, de la tête de son empire, le propriétaire observe son territoire. Il sait que toute la machinerie du business tourne grâce à sa présence solaire; Mais que se passerait-il si le soleil devait se cacher derrière un nuage en cas d’incapacité personnelle ou de passage dans l’au-delà? Eh bien, heureusement, de tels moments ne nécessitent pas un coup d’État entrepreneurial. Nos patrons éclairés ont une option sécuritaire à leur portée: l’envoi d’un « mandat de protection future » ou d’un « mandat à effet posthume ».
Une espèce de message dans une bouteille pour le futur, un SOS financier pour protéger le navire de l’incertitude. Un tel outil, précieux comme une boussole, leur donne le pouvoir de désigner auparavant un co-pilote capable, un véritable messager de leurs volontés, qui entre en lien direct avec la société comme un télégramme vivant de la feuille de route du dirigeant.
Et que fait ce télégramme vivant, ce fidèle interprète avec le « mandat à effet posthume »? Eh bien, un patron immobilisé temporairement (ou définitivement), choisit ce partenaire de confiance. Et comme un chevalier jurant fidélité à son roi, celui-ci a pour mission de protéger tous les intérêts personnels et les joyaux patrimoniaux de l’entrepreneur. L’étendue de son autorité sur le royaume entrepreneurial est tracée avec précision, scellée par l’approbation du propriétaire au moment de la signature du mandat.
Cela dit, ne vous méprenez pas, ce n’est pas un chevalier sans frein. Non, non. Le mandataire doit régulièrement rendre compte de sa gestion, une fois par an, pour être précis. Parce que malgré tout, même dans des circonstances aussi extrêmes, la transparence et la redevabilité doivent rester la règle du jeu!
Au délà de l’éternité, le bouclier ultime pour les business-minded: le mandat à effet posthume
Imaginez… Vous êtes aux commandes, votre empire économique brille comme une étoile filante dans le ciel du business. Subitement, l’univers vous reprend. Que devient votre riche terre promise? Peut-être de la terre à l’abandon dans un champ de bataille, un marécage éternel, de successeurs en successeurs, croisant le fer pour un semblant de couronne royale… Non, c’est impensable!
Allongeant votre bras bienveillant depuis l’au-delà, de votre vivant, optez pour le mandat à effet posthume. Ce précieux parchemin donne le pouvoir à une ou plusieurs sentinelles, sortes de gardiens de votre sacré royaume d’entreprise. Et ce, pour le bien et l’honneur des héritiers qui continueront à profiter de son essor.
Deux années, tel sera le règne de ces gardiens, à moins que le pouvoir judiciaire, avec sa sage plume de justice, n’appose son sceau d’approbation pour une extension allant jusqu’à cinq belles années. Ainsi, vous évitez un champ de mines où la guerre des trônes menace, unité et continuité étant les clés de voûte de votre success-story, pas question de laisser un règne de discorde et de tergiversations y mettre un terme!
Éviter le chaos, éteindre le brasier de la discorde potentielle et garantir une relève sécurisée et sereine pour votre entreprise… de quoi passer l’éternité plus paisiblement, non?