Ah, les nouvelles mouvances de business, un buzzword qui fait frissonner de plaisir le monde des cols blancs, n’est-ce pas ? Aussi attirants qu’une sirène pour un investisseur assoiffé, ces modèles innovants de business ont le vent en poupe et se font bichonner comme des petits rois en particulier par ceux qui ont des billes à mettre dans les start-ups françaises. Ces dernières grimpent sur le podium international avec une aisance déconcertante, charriant des levées de fonds d’une amplitude faramineuse, tout en se fringant d’un succès chatoyant.
N’empêche, ce tableau idyllique commence à se peinturlurer d’interrogations et de critiques. Un soupçon d’ombre se dessine sur la toile : y a-t-il du grabuge dans cette belle mécanique ? Quand on gratte un peu le vernis, il paraîtrait qu’un maillon de ce grand chapelet puisse bien être en train de s’affaisser, créant un dysfonctionnement qui pourrait faire grincer quelques dents.
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ToggleLe grand boom des entreprises abonnées au rouge
Ah, les affaires d’aujourd’hui! C’est une dinguerie, tu ne trouves pas? Ça fait fureur: des entreprises qui, année après année, signent des belles flaques de rouge sous la ligne « bénéfices ». Moi, je dis que c’est le bouquet! Et pourtant, c’est comme si on vivait sous l’avalanche de ces Emma Bovary de l’économie, accoutumées à vivre grâce à de folles injections de capitaux. Pas moyen de mettre la main sur une formule pour tirer des profits de leur activité, malgré les années au compteur.
Imagine seul un instant, on dirait le grand jeu du « Winner Take All »! Comme si le premier à plonger dans la piscine aurait droit à tous les frites gonflables. Tu te dis, c’est pas si mal, après tout. Tu penses aux as du genre, les Google et Facebook de ce monde. D’abord ils ont rameuté une horde d’utilisateurs avant de frapper le jackpot. Ça a du charme, ce concept là. Sauf que, au final, ces nouvelles sociétés semblent faire du surplace et on se gratte la tête en se demandant si elles vont un jour dégoter un business model qui tient la route.
En attendant, elles dansent avec le diable en jouant à la guerre des prix face à ceux qui, bon sang, essaient vraiment de mettre du beurre dans leurs épinards. AC/DC disait « It’s a long way to the top », mais ces sociétés semblent penser que c’est encore plus long pour atteindre leur seuil de rentabilité. Pour elles, proposer des prix plancher c’est « business as usual », même si ça revient à déverser des seaux d’argent par la fenêtre. Disons le clairement: la vente à perte, c’est non! Du coup, on a le sentiment qu’elles zigzaguent entre les gouttes, sous le prétexte d’être une entreprise de services. Franchement, ça laisse un petit goût de balle au rebond, non? De ces manigances qui flirtent un peu avec l’interdit.
Cette affaire, c’est un peu comme un thriller d’espionnage : dramatique, intrigante et truffée de rebondissements. Ne lâchons pas le morceau, ça promet de faire du boucan.
Les mirages de faux entreprises brodés dans les business models contemporains
Prenons un instant pour plonger dans le monde intrigant des business models d’aujourd’hui. Imagine un instant, t’es branché à l’idée du travail indépendant, des matins non-structurés et du pouvoir de faire cavalier seul. Cependant, as-tu déjà pris le temps de scruter d’un peu plus près ces modèles d’affaires qui font l’éloge de l’entrepreneuriat et de la libre entreprise? Laisse-moi te peindre une image qui pourrait bien ébranler tes convictions.
Parmi ces modèles, certains, il est vrai, sont érigés avec sincérité, laissant transparaître une authentique quête d’indépendance. C’est chouette, non? Mais, hélas! Il y a le revers de la médaille. Les nouveaux modèles d’affaires qui jaillissent de partout semblent être concoctés non pas pour satisfaire un désir d’expansion et de liberté, mais plutôt par nécessité. Ces détournements d’entrepreneuriat, astucieusement déguisés en opportunités attrayantes, ne sont rien d’autre que des stratagèmes pour conquérir le marché du travail.
Laisse-moi te donner un p’tit cours 101 sur la façon dont ça se passe. Les grandes firmes, astucieusement, font miroiter un monde de liberté pour attirer les travailleurs dans leurs filets. Toutefois, dans la réalité, elles n’offrent qu’un pseudo-choix, une façade soigneusement construite qui donne l’illusion de l’indépendance. En fait, ces rôles entrent simplement dans le moule des postes salariés existants, sauf qu’ils sont repackagés avec un joli nœud sous le prétexte d’offrir un service.
Ça peut donner l’impression d’un bon deal à première vue, hein? Mais la vérité, c’est que ces pseudo-jobs se font souvent au détriment de meilleures conditions de travail. Pour être clair, ça ressemble méchamment à de l’exploitation. Et le clou du spectacle? Ceux qui sont censés aller au charbon pour ces sociétés finissent par se sentir comme des marionnettes, obéissant docilement aux ordres de leurs dirigeants. C’est pas joli-joli, non?
Les mots déguisés et le simulacre de liberté ne sont, en fin de compte, que du vent. La liberté promise se vaporise et se transforme en une chaîne invisible de assujettissement aux ordres de la société qui attire insidieusement les travailleurs indépendants dans leur toile. Voilà, j’ai dit ce que j’avais à dire. À toi de décider si tu veux ou non que ton rêve d’indépendance se transforme en cauchemar d’exploitation.
Qu’est-ce qui cause cet émoi?
De prime abord, l’idée de devenir son propre patron a de quoi séduire n’importe qui, n’est-ce pas ? En règle générale, une personne à son compte peut s’attendre à un meilleur salaire en guise de compensation pour le risque et les charges sérieuses qu’impliquent l’autonomie professionnelle. Et puis, c’est tout le but, après tout : la plupart des gains finissent dans notre poche, non ?
Cependant, il est temps de poser un bémol. Les plateformes numériques dont nous discutons ici ne soulagent pas vraiment le travailleur indépendant de toutes ces contraintes. Au contraire, elles peuvent avoir un penchant pour l’établissement de règles strictes. Et devinez quoi ? Ces règles peuvent avoir un air sacrément familier – elles ressemblent parfois étonnamment à ce qu’on pourrait s’attendre d’un patron traditionnel. Pensez aux services de livraison ou aux innombrables plateformes de taxis. Ça fait hésiter, non ? Bien sûr, il est injuste de tous les mettre dans le même panier, mais il y a de quoi réfléchir sur comment ces acteurs envisagent leur évolution dans le paysage professionnel.
On ne peut nier que ces plateformes rendent des services utiles voire indispensables parfois. Là où il n’y a pas d’autres alternatives, comme dans le cas du covoiturage par exemple, ces plateformes trouvent leur place. Sans elles, ce genre de service aurait probablement du mal à voir le jour. Cependant, il y a anguille sous roche quand il s’agit de professions qui existaient déjà avant l’apparition de ces plateformes. Il y a, puisqu’on en parle, une réelle question à se poser : ces plateformes créent-elles vraiment de l’emploi ou sont-elles plutôt des catalyseurs pour la destruction de postes ? C’est un point qui fait grincer des dents et mérite une petite mastication intellectuelle.
Eh bien, où se cache le mojo?
Ah, ce n’est pas un secret, mes chers lecteurs, on commence à jeter le gant aux pieds de ces fameux nouveaux modèles d’affaires. Pourquoi? Parce qu’on se rend compte, qu’ils sont un peu comme le roi nu du conte d’Andersen. Ils n’ont pas vraiment quelque chose à eux, ils tiennent plutôt le rôle de chaperons, facilitant les choses aux gens qui ont du pain sur la planche.Je m’explique: prenez un bon regard sur ce type de business. Vous vous apercevrez très vite qu’ils ne concoctent pas vraiment de produits, ils ne stockent rien et ils ne mettent pas la main à la pâte pour fournir le service final. En fait, ils ont tendance à ressembler à des coquilles vides, des ombres dans les coulisses.À première vue, cela n’est pas de quoi choquer tout droit. Mais faites encore une fois le tour du propriétaire et vous constaterez le hic. Ces fameux modèles d’affaires semblent être ceux qui remplissent le plus leurs poches sans transpirer, tandis que ceux qui mettent le coude à la pâte, qui fabriquent le produit ou fournissent le service, ne reçoivent qu’une miette résiduelle.Et là, mes chers, le bât blesse. Car voilà, sans ces forçats de la besogne, ces nouveaux business n’auraient même pas de raison d’exister! C’est un canard sauvage qui donne du grain à moudre à diverses critiques. Comment chacun les accueillera dépendrah bien sûr de sa propre situation, mais je vous le demande, où est donc le mojo?