Imaginez un instant… Vous avez le vent dans le dos, prêt à laisser une empreinte mondiale avec vos affaires. Rien qu’à y penser, ça donne des frissons, n’est-ce pas ? Mais voilà, le hic, c’est que la sécurité des paiements vous gratte quelque part. Ah, cette petite bête noire peut vraiment déranger, hein ?
Pas de tracas, mon ami entrepreneurial. Le paysage bancaire regorge d’alliés prêts à vous épauler, grâce à des outils bancaires plus grinçants que les couteaux suisses. Des spécialistes des opérations financières internationales aux manœuvres parfaitement rodées pour mettre du vent dans les voiles de votre expansion à l’étranger, il y a une véritable armée derrière vous.
Allez, je vous les présente, ces fameux outils, vos futurs meilleurs amis. Je sens déjà vos yeux briller d’excitation et d’impatience.
Insérez ici l’exploration de vos futurs alliés. Sachez juste que, pour la drum roll finale, chaque outil a été minutieusement conçu pour travailler avec vous, prendre soin de vos finances et surtout, naviguer sans encombre à travers les eaux parfois tumultueuses des transactions internationales. Alors, prêt pour le grand saut ?
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ToggleCreuser en profondeur avec des experts du secteur
La première étape de votre voyage vers le marché international ? Se former auprès des pros, bien sûr. Vous voyez, les CCI – Chambres de Commerce et d’Industrie – sont comparables à un trésor, prêtes à délivrer des pépites d’informations utiles. Mais attendez, il y a une autre étape avant de partir à la conquête du globe. Vous avez vraiment l’embarras du choix. La Coface, par exemple, propose un baromètre pratique – une sorte de ‘Mona Lisa’ de l’évaluation des risques. Leur baromètre économique infaillible cartographie le risque de défaillance des entreprises pour plus de 160 pays à travers le monde. Sauver votre entreprise de la chute libre ? Il vous couvre.
Mais attendez, il y a plus ! Croyez-moi, vous n’êtes pas encore arrivé à terre sèche. De nombreuses banques offrent un package tout compris qui va au-delà de simples futilités. Elles incluent des informations commerciales sur le pays de votre choix, gardent un œil sur votre marché cible et dressent une liste soignée de prospects potentiels, d’agents et de distributeurs. Elles mettent même des tendances et des nouvelles spécifiques à votre secteur directement sur votre bureau ! Je veux dire, ça fait un peu comme avoir sa propre marraine la fée des affaires, n’est-ce pas ? »
Épouser la sécurité face aux imprévus, la lenteur et les mauvais payeurs.
Dans la frénétique chasse à la croissance mondiale, on a généralement plusieurs cordes à son arc pour se garantir une belle protection. Eh oui, ça fonctionne des deux côtés de la barrière – pour le commerçant enthousiaste et pour cet acheteur déterminé qui compte chaque penny.
Le fabuleux voyage du Crédit Documentaire
Connaissez-vous le Crédit Documentaire, ce mystérieux inconnu aussi familièrement surnommé « Crédoc » ? Imaginez-le, tel un parchemin scellé, un pacte solide comme roc, portant l’irrévocable promesse de paiement d’un acheteur et sa banque envers celle du vendeur.
Là, pas de place pour le non-dit, les hypothèses ou le paraître. Tout est noir sur blanc, écrit et bien détaillé. Une fois que notre ami le vendeur fait preuve de diligence et renvoie les documents exigés, respectant à la lettre les conditions stipulées dans ce fameux Crédoc, le grand moment est arrivé. Comme lève le rideau à un spectacle tant attendu, la banque émettrice, satisfaite de la prestation accomplie, régale par son paiement.
Et voilà donc le fabuleux voyage du Crédit Documentaire, ou comment une simple procédure bancaire se métamorphose en une histoire aussi captivante que l’attraction de l’or pour un chercheur de trésors.
Un oeil sur la lettre Stand By aussi connue sous le non moins glamour nom de SBLC
S’il pouvait virevolter en un ballet dans le monde de l’argent comme un danseur de flamenco, le SBLC serait ce baroudeur sûrement vêtu de noir, titré comme le génie des garanties bancaires. Ouais, vous l’avez bien entendu, c’est l’autre as dans la manche, le chéri des lettres de crédit, il est aussi sophistiqué que sexy!
Cette bête, éclot du nid de la banque intermédiaire, s’envole gracieusement au secours de la banque émettrice, prête à couvrir ces lourds sacs de billets que sont les frais d’une prestation en cours. C’est un principe qui joue au jumeau avec le crédit documentaire, son grand frère encore plus costaud, mais qui fait bien plus qu’une simple pirouette.
Il ne se limite pas uniquement à l’arène restreinte d’une unique opération commerciale entre notre fournisseur et notre acheteur. Non, non, non. L’SBLC prend son envol sur toute la scène, embrassant la complexité d’un ensemble d’opérations comme un virtuose du tango!
Donc, la prochaine fois que tu t’engages dans l’arène financière, n’oublie pas d’inviter le SBLC à danser. Il pourrait bien être le partenaire parfait pour mener ton ballet financier à un final brillant.
Quand l’engagement se porte garant de réalisation
Imaginez un peu que vous faites la promesse solennelle d’accorder une somme définie. Pourquoi ? Pour dédommager l’acheteur, le gars qui a mis sa confiance – et son argent – en vous. Mais attention, ce n’est pas parce que vous vous sentez généreux ou que vous avez gagné au loto. Non, non. C’est parce que, disons-le carrément, vous n’avez pas été à la hauteur. Vous n’avez pas respecté vos engagements, vos promesses contractuelles comme, par exemple, la fourniture des biens tant attendus, ou la prestation de services dont l’attente est insoutenable. Et tout ça, c’est prévu dans le contrat commercial. Alors bon, on ne dira pas que ça fait plaisir, mais au moins, l’acheteur peut être assuré qu’il n’a pas tout perdu…
Le dédale du remboursement d’acompte: Un classique d’un exportateur assuré
Vous savez, quand on parle de manège financier, la première image qui me vient à l’esprit, c’est celle d’une danse endiablée, une valse entre l’acheteur et l’exportateur. Alors, permettez-moi de vous inviter à prendre part à ce bal – mais, attention, avec la musique, viennent les pas de danse compliqués. L’un d’entre eux est le fameux « remboursement d’acompte ».
Là, vous vous demandez sûrement de quoi il s’agit, hein? Bon, je vous l’explique en toute simplicité. Imaginez-vous dans la peau de l’exportateur, à qui l’acheteur a déjà filé un acompte. Vous dansez ensemble, tout se passe à merveille, chaque pas est en harmonie… jusqu’à ce qu’un accroc survienne. Peut-être que quelque part, dans un coin sombre de la salle de bal, vous loupez un pas et du coup, n’atteignez pas la finalité du contrat.
Alors, qu’est-ce qui se passe ensuite? Et bien, c’est là qu’intervient la banque de l’importateur, telle une bonne samaritaine, en s’engageant à rembourser les sommes versées par l’acheteur. C’est une sorte de filet de sécurité, un coussin doux et confortable sur lequel vous pouvez tomber en toute tranquillité. Oui, rien ne sera laissé au hasard, et même dans l’incapacité de respecter le contrat, l’acheteur n’est pas laissé à sa propre merci. Tout est anticipé, tout est prévu.
Voilà, vous l’avez, le « remboursement d’acompte », une véritable chorégraphie financière où chacun fait de son mieux pour assurer le spectacle, sans remords ni regrets.
Un bouclier contre Caprice de Fortune : La garantie de paiement
Ah, l’air doux et capricieux du commerce! Une minute, vous êtes en haut, palpitant de succès, la suivante… vous voilà ratissant le caniveau du non-paiement. C’est sans compter le frisson des risques politiques lointains, le tintamarre des défaillances bancaires… ça donne sérieusement le tournis! Mais ne vous faites pas de cheveux blancs, la garantie de paiement est là pour ça. C’est un véritable bouclier qui vous protège de ces ennuis financiers.
Imaginez un instant que la garantie de paiement soit un super-héros. Le genre de justicier qui veille alors que vous dormez et qui entre en action quand le danger se présente. Vous décidez de donner une certaine latitude à vos comptes d’entreprise en établissant des délais de paiement souples, mais qui dit souplesse dit aussi potentialité de risque, n’est-ce pas ? Vous allez donc danser au bal des incertitudes… Ben non, réponse négative! Avec notre garantie de paiement, vous n’avez pas à vous soucier de ces petits détails empoisonneurs de vie.
Au lieu de ça, vous pourrez ouvrir grandement les portes à des délais de paiement plus relax et les sécuriser facilement. Allez-y, faites donc perdurer cette sérénade avec vos clients à l’étranger, mettez les voiles vers des horizons commerciaux plus détendus, plus sereins…et surtout, sans surprises indésirables!
Un filet de sécurité pour les découvertes locales :
Peu importe où vous mettez le pied, c’est toujours agréable d’avoir un petit coussin pour atterrir doucement, quelque chose qui prend le relais quand les fonds font défaut. Vous savez, cette petite lueur d’espoir dans le moment de panique quand vous réalisez que votre compte a atteint rouge vif. C’est là que notre garantie pour découvert local entre en jeu, en vous offrant des facilités de caisse et un découvert ponctuel pour financer vos dépenses à l’étranger, là où le coût de la vie peut être aussi imprévisible qu’un match de football. Avec cette garantie, ces instants stressants se transformeront en de simples souvenirs. Alors, prenez un grand souffle, détendez-vous à l’ombre d’un cocotier et laissez votre esprit vagabonder librement, sans vous soucier du niveau de votre compte. Après tout, c’est bien le but de tout voyage, n’est-ce pas ? S’évader de la routine quotidienne, se déconnecter du stress habituel. Non, ce n’est pas une solution miracle, mais cela, c’est un sacré coup de pouce ! Bref, c’est une belle échappatoire qui pourrait faire la différence entre un voyage réussi et un casse-tête bancaire. Le monde est à vous, faites vos valises et envolez-vous vers l’inconnu, nous nous occupons des détails.
Le bouclier de sécurité: La garantie de soumission
Imagine ça, tu joues une partie de poker à très forte mise, la tension est à son comble et tout repose sur le dévoilement de la prochaine carte. Un scénario similaire se joue lorsque tu fais une offre à l’étranger. Les enjeux sont élevés et le suspense est à son apogée. C’est là que rentre en jeu notre super-héros, la garantie de soumission.Mais qu’est-ce que c’est au juste? Bonne question! Simplement put, c’est une couverture qui a pour but de calmer les tremblements de l’acheteur face au risque de non-conclusion du contrat. Vous savez, comme une couverture de sécurité pour un enfant effrayé – ça rassure et protège contre le danger.Aussi connue sous le doux nom de caution de bonne fin de travaux, elle offre une sorte de promesse, un gage de sérieux arboré comme un écu. Elle est là pour dire: « Pas de panique, si les choses tournent au vinaigre, on a tout prévu! ». D’une certaine façon, elle est un peu comme une tasse de thé chaude par une froide nuit d’hiver. Elle apporte la tranquillité d’esprit nécessaire pour avancer avec assurance, même quand la route semble glissante et incertaine.
Un zoom sur le concept de la dispense de garantie
Ah, la belle époque où on vivait les transactions comme un véritable tango, un pas en avant, deux en retrait. Le soulagement de clore une affaire, uniquement pour se retrouver dans les mailles d’une nouvelle épreuve : la période de garantie. Les vendeurs, patiemment, avaient pour habitude de ronger leur frein, attendant le verdict final, le solde du paiement, bloqué jusqu’à la fin lugubre de la période de garantie… Mais attendez, il se trame quelque chose d’excitant sous le chapeau gris de la terminologie juridique.
C’est là que le concept de dispense de garantie fait son entrée, aussi radieuse qu’une superstar sur une scène de Broadway ! La dispense de garantie, mes chers lecteurs, c’est cette clé en or qui permet à notre vendeur de décrocher le lot ultime, c’est-à-dire le solde du paiement, bien avant que la mayorité de la période de garantie ne devienne un souvenir lointain.
Une telle provision de soulagement et de secours, mes amis, c’est comme de la magie en bouteille!
Zoom sur la palette de moyens de paiement.
Imaginez-vous au cœur de l’Union européenne, vous n’avez que l’embarras du choix pour régler vos piques au quotidien. Si vous êtes du genre traditionnel, alors les virements et prélèvements SEPA seront vos meilleurs alliés. Ils règleront vos tracas en un claquement de doigts, à condition bien sûr que votre compte soit approvisionné en euros. Vous pourrez d’ailleurs faire joujou avec ces deux-là, non seulement dans les 28 pays de l’Union européenne, mais aussi dans des destinations aussi exotiques que l’Islande, la Norvège, le Lichtenstein, la Suisse ou Monaco. Petit bonus, histoire de ne pas faire les choses à moitié.
Rapide, peu coûteux et sûr, le virement international (saluez le SWIFT, s’il vous plaît) est votre joker lorsque vous voulez vadrouiller hors des frontières européennes. Avec lui, fini les angoisses de pertes, de vols, de falsification ou d’impayé.
Il y a aussi les vieux de la vieille, les moyens de paiement qu’on n’oublie pas mais qui côtoyent moins souvent nos portefeuilles : le chèque et le paiement par effet ou « billet à ordre ». On pourrait dire que le billet à ordre est une version améliorée du chèque. En effet, il apporte une garantie un peu plus costaud. Il vous propose de régler anciennes rancunes et futures fêtes en fixant, vous-même, l’échéance de paiement. Comment ça fonctionne? Simple comme bonjour! Vous pouvez remplir les coordonnées bancaires qui figurent sur le RIB de votre bénéficiaire, mettez la date que vous avez choisi pour faire valser les billets, et enfin, scellez le tout par votre signature.
Allons, ne laissez pas filer ces aides et financements internationaux!
Lorsque vos efforts frénétiques d’étude de marché atteignent leurs cibles, au lieu de faire un break, pourquoi ne pas explorer plutôt ces oasis financières qui se profilent au loin? Ce sont les fabuleuses aides disponibles qui vont vous pousser loin, très loin, au-delà de vos frontières actuelles. En tant que PME, une panoplie d’options se déroule devant vous comme un tapis rouge: aides à l’export, investissements dédiés à l’export, garanties de financement, prêts pour l’export, contrats de développement international, contrats de développement participatif. Ah, j’allais oublier celui qui fait souvent des heureux ! Bpifrance se plie en quatre pour vous avec son prêt « Croissance Internationale ».. comme son nom le suggère, il est destiné aux PME et entreprises de taille intermédiaire au cœur d’expansion international. Mais attention, toujours lire la petite ligne en bas; ce prêt cache quelques conditions pour financer les investissements de développement de l’activité à l’international ou d’implantation à l’étranger.
Et si je vous disais que vous pouvez mettre vos investissements à l’abri ? Comme dans le coffre-fort d’une banque ? Oui, c’est La Coface qui arrive en chevalier blanc pour protéger vos investissements contre les fameux incidents politiques, et d’autres ennuis traînants et pendouillants qui peuvent se mettre en travers de votre chemin. Imaginez un peu, sans cela, en cas de défaut de paiement, vous pourriez vous retrouver à parcourir un désert financier. Heureusement, La Coface est là: elle vous balance une indemnité qui couvre vos pertes qui, sans cela, auraient pu être catastrophiques. Et, grâce à l’assurance-crédit, vos factures sont blindées contre les éventualités de non-paiement à l’export. Allez, personne n’est à l’abri du volcan économique en eruption comme le démontre le COVID-19… Heureusement, l’assurance-crédit export est là pour vous offrir un parapluie, un bouclier contre le risque client trop présent.
Quand le Brexit réinvente les transactions financières : impact des nouvelles règles de virement et de prélèvement de l’Union Européenne vers le Royaume-Uni, en vigueur depuis le 1er janvier 2021
Sacrebleu ! Depuis l’aube du nouvel an 2021, pour effectuer un virement ou un prélèvement émanant du Royaume-Uni ou à destination, l’adresse du payeur est désormais un indispensable.
Il y a eu un changement de décors important autour du 31 décembre 2020. L’acte final de Brexit a résonné, éloignant définitivement le Royaume-Uni de l’Union Européenne. Cette déconnexion était la conclusion logique d’une transition de onze mois, durant laquelle le trône du Royaume-Uni restait vide dans les institutions européennes. Le pays n’intervenait plus dans les décisions pan-européennes, cependant, il demeurait dans le marché unique et respectait encore les règles établies.
Mais, rassurez-vous ! Les prestataires de services de paiement (PSP), ces acteurs financiers britanniques, n’ont pas complètement tiré leur révérence. Ils continuent de prendre part aux opérations SEPA (Single Euro Payments Area). Ce qui signifie, à la bonne heure, que les virements et prélèvements SEPA entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni sont toujours réalisation. Cependant -et c’est là qu’intervient notre fameuse nouvelle règle- en conformité avec la recommandation 16 du GAFI (Groupe d’Action Financière) concernant les « virements électroniques » ainsi qu’avec le règlement européen (UE) 2015/847 sur les informations accompagnant les transferts de fonds, il est impératif, depuis le 1er janvier 2021, que toute transaction depuis ou vers le Royaume-Uni mentionne l’adresse du payeur.
Si vous êtes un client créditeur d’une banque en France et que vous souhaitez effectuer un prélèvement SEPA sur un compte d’une banque au Royaume-Uni, faites bien attention à ajouter l’adresse de votre débiteur. Par-dessus le marché, il se peut que votre banque vous demande de décliner également le BIC (Bank Identifier Code) de la banque du débiteur britannique.
Et ne croyez pas que vous auriez plus de chance en tant que débiteur client d’une banque en France, ayant un prélèvement SEPA en faveur d’un créditeur d’une banque britannique. De même, assurez-vous d’inclure votre adresse dans le prélèvement SEPA. Sans cela, le paiement pourrait être rejeté en un clin d’oeil. Une situation qu’on préférerait tous éviter, n’est-ce pas ? Il se peut, en outre, que votre créancier vous demande de fournir le BIC de votre banque.
Et pour clore le chapitre sur une note de statistique, il semble intéressant de s’attarder sur la répartition des banques selon la modification tarifaire des virements dans l’espace unique de paiement en euros (SEPA) effectués en agence bancaire entre 2017 et 2018.